Le travail exécuté debout et en mouvement sur le tapis kybun rebondissant souple et élastique constitue une alternative saine à une position assise passive. La structure souple et élastique incite les muscles des pieds et des jambes à une activité légère et permanente visant à maintenir le corps en équilibre. Associé à un pupitre, le tapis kybun constitue un élément important de la gestion de la santé. Un lieu de travail agréable augmente la motivation et la satisfaction des employés et réduit le nombre de jours d'arrêt maladie du personnel.
La chaussure kybun convient particulièrement aux personnes se déplaçant beaucoup dans leur travail. La particularité de cette nouveauté mondiale est sa semelle walk-on-air. Le coussin d'air souple ménage les articulations et soulage les contractures dans le dos et le cou. La chaussure kybun garantit un amortissement agréable et un confort exceptionnel, même après plusieurs heures d'utilisation.
Elle est souple et confortable. Je porte même la chaussure de marche que j’essaie pour la première fois. Pendant 15 jours, j’ai pu essayer une chaussure de travail. Elle est bien pour marcher. Les pieds brûlaient d’abord légèrement, et j’avais encore une douleur provenant d’une inflammation. Ça n’a pas disparu. Pour marcher, elle est très agréable.
L’avantage se sent sûrement lorsqu’on est longtemps debout, ou pour des personnes employées dans la vente. Là, les maux de dos n’existent plus. Ça se passe toujours ainsi.
J’ai acheté ma première paire de chaussures kyBoot à l’automne dernier, car je ressentais toujours des douleurs à la suite de l’accident (survenu en été 2013). Cette déchirure musculaire multiple du mollet droit semblait tenace. Elle m’a value six mois de physiothérapie, de traitement par ultrasons (pour un hématome de 15 cm entre les fibres), des radios et des IRM. Plus un cycle supplémentaire de physiothérapie avec ondes de choc. De l’acupuncture, des massages francs. À chaque fois, cela allait mieux pendant quelque temps, mais une guérison durable semblait hors d’atteinte. En me levant, je ressentais toujours des douleurs aigües dans le pied droit et les médecins n’en comprenaient pas la raison. Pourquoi des douleurs au pied si c’est le muscle du mollet qui a été touché ? En octobre 2014, j’ai décidé d’essayer la kyBoot. J’ai été très bien accueilli, on m’a donné de très bons conseils et je suis sorti du magasin avec la chaussure en question. Depuis ce moment, je la porte toute la journée. Au bureau comme en déplacement. J’ai même pu faire quelques promenades avec. Malgré les douleurs et contre l’avis de mon médecin traitant, j’ai continué à pratiquer mon sport préféré, la danse de salon (le disco swing, le jive... donc plutôt les genres où ça bouge). À côté de ça, j’ai fait des exercices de musculation, d’étirement, etc. Au printemps, mon médecin m’a encore fixé un rendez-vous à la Etzelklinik et m’a mis en contact avec un médecin du sport pour s’occuper spécialement de mon cas. J’ai obtenu un rendez-vous « relativement vite », pour le 22 janvier 2015. Mais les douleurs ont disparu progressivement, au point que je n’avais plus du tout mal lors du rendez-vous. Mon médecin m’a quand même conseillé d’y aller. Les médecins de la clinique ont été surpris. Des radios, des questions. Comment est-ce possible ? Il n’y a avait plus rien à voir. La seule chose qui mettait les deux spécialistes d’accord, c’est qu’on ne voyait plus rien. L’un des spécialistes se demandait si une semelle minimale ne pourrait pas agir contre ma légère « distorsion interne » (en quoi ?). Le médecin du sport était d’avis que j’avais tout fait comme il fallait. BOUGER ! Il invoqua le travail et le choix des procédés (thérapie unique par ondes de choc et acupuncture) de la dernière physiothérapie. Mais il pensait surtout que le fait d’avoir beaucoup bougé avait joué un rôle primordial pour faire disparaître les douleurs dans le pied. Je peux remercier la kyBoot pour cela. Son conseil : ne rien changer. kyBoot, le sport, la danse, etc. (Il était clairement contre les semelles spéciales !) En fait, les douleurs provenaient d’une position antalgique que j’avais adoptée à l’époque de l’accident puis repris quelque temps après. Sans que je m’en rende compte, le fait de pouvoir tout le temps bouger mon pied librement a permis de briser ce cercle vicieux. Voilà. Il ne me reste qu’une chose à dire : merci infiniment.
La plupart des musiciennes et des musiciens de la fanfare d’Uttwil ont découvert toutes les qualités de la kyBoot, la chaussure à coussin d’air suisse.[En savoir plus]