En plus d'être plaisantes, la marche et la position debout sur la semelle à coussin d'air souple et élastique de la chaussure kybun soulagent le dos, renforcent la musculature et ménagent les articulations. Vous avez l'impression de visiter expositions, musées et villes entières en marchant sur un sol forestier douillet.
La découverte des chaussures kybun a changé ma vie. Depuis ma naissance, je souffre d’un pied plat/étalé. Puisque que nous ne trouvions pas de chaussures adaptées à mon problème dans le commerce, mes parents faisaient faire de coûteuses chaussures sur mesure. Je n’en garde pas de bons souvenirs. Lorsque j’étais à l’école primaire, ma mère m’emmenait deux fois par an à Zurich dans un magasin spécialisé. Je me souviens des heures angoissantes passées dans cette boutique « surchauffée » et je revois cette vendeuse dévouée m’apporter une multitude de chaussures – sans grand succès. Le plus souvent, les randonnées en famille, les voyages scolaires et les vacances au ski étaient une vraie torture pour moi. En mai 2014, j’ai découvert les chaussures kybun, ce fut l’évènement de l’année ! Depuis, je peux marcher des heures sans ressentir de douleurs. Je marche sur des sols durs, p. ex. quand je vais faire mes courses en ville. Je ne me fatigue plus et mes pieds ne souffrent plus. Avant, presque chaque pas se répercutait violemment sur ma hanche qui n’était déjà plus très en forme. Aujourd’hui, mes hanches et mon dos se portent très bien. Dans mon logement, dont le sol est recouvert de carreaux en céramique, je porte avec bonheur des sandales kybun. Je passe des journées entières au musée Technorama et au zoo en compagnie de mes petits-enfants. Je fais la queue et reste des heures aux fourneaux. Désormais, je reste volontiers debout et je suis heureuse. C’est un plaisir de marcher en se tenant droite.
Vendredi : cinq heures à marcher dans Hambourg, thermomètre à 0º et des pieds au chaud après quelques minutes de marche.
Samedi : dix heures à marcher dans Hambourg, thermomètre à 0º, je n’en reviens pas d’avoir tenu aussi longtemps !
Jeudi : Promenade sur la plage à Amrum. La pluie avait formé d’immenses flaques d’eau sur le sable, je ne pouvais pas les contourner, je devais les traverser. J’ai retiré chaussures et chaussettes, il faisait environ 7º, au bout de quelques mètres, je ne sentais déjà plus mes pieds. Je n’avais rien pour m’essuyer, j’ai juste retiré le sable en frottant mes pieds avant de me rechausser ; il me restait toujours près de 30 minutes de marche dans le village. J’ai décidé de passer par mon appartement de vacances pour prendre un bain de pieds. Mais une fois dans le village, je me suis rendue compte que mes pieds étaient de nouveau bien au chaud ! MAGNIFIQUE !
Au travail, je ne porte plus que mes kyBoot et je les recommande à tous mes patients. Les meilleures chaussures que j’aie jamais portées ! Ma mère les porte chez elle et est enchantée par l’agréable tiédeur qu’elles procurent.
J’ai acheté ma première paire de chaussures kyBoot à l’automne dernier, car je ressentais toujours des douleurs à la suite de l’accident (survenu en été 2013). Cette déchirure musculaire multiple du mollet droit semblait tenace. Elle m’a value six mois de physiothérapie, de traitement par ultrasons (pour un hématome de 15 cm entre les fibres), des radios et des IRM. Plus un cycle supplémentaire de physiothérapie avec ondes de choc. De l’acupuncture, des massages francs. À chaque fois, cela allait mieux pendant quelque temps, mais une guérison durable semblait hors d’atteinte. En me levant, je ressentais toujours des douleurs aigües dans le pied droit et les médecins n’en comprenaient pas la raison. Pourquoi des douleurs au pied si c’est le muscle du mollet qui a été touché ? En octobre 2014, j’ai décidé d’essayer la kyBoot. J’ai été très bien accueilli, on m’a donné de très bons conseils et je suis sorti du magasin avec la chaussure en question. Depuis ce moment, je la porte toute la journée. Au bureau comme en déplacement. J’ai même pu faire quelques promenades avec. Malgré les douleurs et contre l’avis de mon médecin traitant, j’ai continué à pratiquer mon sport préféré, la danse de salon (le disco swing, le jive... donc plutôt les genres où ça bouge). À côté de ça, j’ai fait des exercices de musculation, d’étirement, etc. Au printemps, mon médecin m’a encore fixé un rendez-vous à la Etzelklinik et m’a mis en contact avec un médecin du sport pour s’occuper spécialement de mon cas. J’ai obtenu un rendez-vous « relativement vite », pour le 22 janvier 2015. Mais les douleurs ont disparu progressivement, au point que je n’avais plus du tout mal lors du rendez-vous. Mon médecin m’a quand même conseillé d’y aller. Les médecins de la clinique ont été surpris. Des radios, des questions. Comment est-ce possible ? Il n’y a avait plus rien à voir. La seule chose qui mettait les deux spécialistes d’accord, c’est qu’on ne voyait plus rien. L’un des spécialistes se demandait si une semelle minimale ne pourrait pas agir contre ma légère « distorsion interne » (en quoi ?). Le médecin du sport était d’avis que j’avais tout fait comme il fallait. BOUGER ! Il invoqua le travail et le choix des procédés (thérapie unique par ondes de choc et acupuncture) de la dernière physiothérapie. Mais il pensait surtout que le fait d’avoir beaucoup bougé avait joué un rôle primordial pour faire disparaître les douleurs dans le pied. Je peux remercier la kyBoot pour cela. Son conseil : ne rien changer. kyBoot, le sport, la danse, etc. (Il était clairement contre les semelles spéciales !) En fait, les douleurs provenaient d’une position antalgique que j’avais adoptée à l’époque de l’accident puis repris quelque temps après. Sans que je m’en rende compte, le fait de pouvoir tout le temps bouger mon pied librement a permis de briser ce cercle vicieux. Voilà. Il ne me reste qu’une chose à dire : merci infiniment.